Musique de Claude Debussy, 1892. 3me mouvement de la Suite bergamasque (les autres étant le Prélude, le Minuet, et le Passepied)(1890-1905), pour piano seul, sa pièce la mieux connue, un chef-d'œuvre de l'époque impressionniste, basée sur un poème de Paul Verlaine de 1869.

Musique et paroles de Will Hudson (Arthur Hainer) et Eddy DeLange (Irving Mills est généralement également crédité, mais les éditeurs ont parfois été crédité, même si ils avaient aucune part à l'écriture proprement dite de la chanson). Musique surtout merveilleuse et magnifique, qui met dans un état de rêve, on se dirait presque transporté au ciel.

Musique: Antonio Viscione, lyrique: Vincenzo De Crescenzo. Elle a été présentée pour la 1ère fois à la Festa di Piedigrotta en 1950 au Teatro Augusteo di Napoli, chantée par Giorgio Consolini, accompagné par l'orchestre de Nello Segurini. Les paroles de cette chanson d'une beauté exceptionnelle, dans la langue napolitaine, raconte la tristesse d'un homme qui, à 3 h. de la nuit, erre dans les rues, en espérant que sa bien-aimée le regarde de son balcon, mais elle ne se présente pas. Dans le vain espoir de la voir, il parle à la lune et demande si elle voit sa bien-aimée, mais elle répond non.

Elle a été traduite en 42 langues et dialectes. Claudio Villa l'a faite en '54 et elle est devenue pour lui en quelque sorte sa chanson de signature. Frank Sinatra L'a faite sous le titre de Blushing Moon. D'autres enregistrements notables ont été par Tony Martin, Vic Damone, et Jerry Vale. (It.Wikipedia; Encyclopedia of Popular Music in America, Lissauer, 1991).

Musique de Richard Rodgers, paroles de Lorenz Hart. Cette ballade exquise a été écrite à l'origine pour le film Hollywood Party de 1934 de MGM, spécifiquement pour une scène mettant en vedette Jean Harlow et a été appelé «La prière (O, Seigneur) '', mais n'a jamais été enregistrée. Hart a écrit des nouvelles paroles pour le film Manhattan Melodrama en 1934, mettant en vedette Clark Gable, William Powell, et Myrna Loy, intitulé "It's Just That Kind of Play", mais il a été coupé du film. Le studio a alors demandé un numéro de boîte de nuit pour le film, et Hart a écrit "The Bad in Every Man", qui a été chanté par Shirley Ross. Un 4ème et dernier lyrique a été fait par Hart, et Hollywood Hôtel, une émission de radio, a été autorisé de l'utilisé comme thème. En 1935, Connee Boswell l'a enregistrée pour Brunswick. Il ce peut être la première instance de la familière progression d'accords doo-wop dans une chanson populaire (également appelé progression d'accords années '50, comme elle a été largement utilisée dans les années '50 au début des années '60). Elle a ensuite été présentée dans au moins 8 autres films MGM, y compris dans At the Circus (1939) des Marx Brothers (avec Harpo sur la harpe), Words and Music (1948), Malaya (1949), East Side, West Side (1950), With a Song in My Heart (1952), Torch Song (1954), This Could Be the Night (1957), et New York, New York (1977). Les Marcels ont fait une version doo-wop dynamique, excitante, et à haute énergie (mais pas aimée par Rodgers) en 1961, qui est devenu un succès international # 1. Le producteur Stu Phillips a été dit d'abandonner le groupe et de consacrer ses jours à un autre interprète chez Colpix, mais ils n'ont rien dit au sujet de ses nuits. Phillips a furtivement amené le groupe dans le studio pour une séance secrète de nuit. Ils l'ont enregistrée à la dernière minute quand ils ont fait 3 chansons et avaient besoin d'une 4ème. Quand l'un des membres a dit qu'il savait «Blue Moon», ils l'ont dit de l'enseigner aux autres en dedans d'1 heure. Elle a été enregistré en 2 prises. Le sens de bleu comme dans la tristesse vient de l'hallucination des diables bleus dans le delirium tremens ou l'alcoolisme, avec les ''démons'' ensuite laissés de côté et le sens changé à tristesse, ce qui est regrettable comme le bleu devrait être la couleur du bonheur, car il est la couleur du ciel, qui a la connotation de céleste, et a aussi la connotation de calme et de sérénité, et il y a l'oiseau bleu du bonheur. (Lissauer, 1991; SongFacts.Com; Wikipedia).

Musique de Henry Mancini, texte de Johnny Mercer, du film Breakfast at Tiffany's, 1961. Cette chanson merveilleuse était presque excluse par un cadre chez Paramount, mais heureusement, Audrey Hepburn voulait l'inclure. Le titre original était «Blue River», mais Mercer a découvert qu'il était le titre d'une autre chanson. Le texte de Mercer se réfère à une vraie rivière, la Back River à Savannah, en Géorgie, où il a grandi. Sa maison donnait sur la rivière et il en avait des bons souvenirs. Elle a été rebaptisé en honneur de la chanson, et la maison de Mercer est devenu connu comme le Moon River House. La ligne «My huckleberry friend», fait référence à un ami d'enfance de Mercer, avec qui il avait l'habitude de queullir des airelles. Back River est aussi le nom d'une rivière près d'où j'ai grandie, et d'où on peut voir Montréal, aussi appelée Rivière des Prairies, dont je garde quelques bons souvenirs aussi. Andy Williams a enregistré une version populaire de cette chanson, qu'il a utilisé comme thème pour son émission de télé-variété, qui a duré 5 ans, de 1962 à 1967. Williams possède le Moon River Theater à Branson, au Missouri. Mancini a été l'un des plus grands compositeurs de films, remportant 20 Grammys, dont 5 pour Le déjeuner chez Tiffany. D'autres films pour les quels il a composé la musique comprennent The Pink Panther, Days Of Wine And Roses, Love Story, et le superbe Charade. Mancini a écrit la mélodie pour la gamme vocale d'Audrey Hepburn. (Lissauer, 1991; SongFacts; Wikipedia).

Du film canadien Meatballs, '79, mettant en vedette Bill Murray. Terry Black (1949-2009) était un chanteur canadien, marié avec la chanteuse et actrice canadienne Laurel Ward (1951-2015, fille de l'artiste notable de flore et faune et conservationniste manitobain Peter Ward) de '73-'93, qui étaient dans le groupe Dr. Music. Ils ont aussi fait équipe en duo sortant plusieurs disques de '72-'82 en tant que Black et Ward.